Vous cherchez des questions pratiques sur l'EACMC1 ? Les dates de l'examen MCCQE1 arrivent à grands pas ? Voyons comment se préparer efficacement pour l'EACMC1 !

L'examen d'aptitude du Conseil médical du Canada, partie 1 (EACMC1) est une partie essentielle du cheminement pour devenir médecin autorisé au Canada. Cet examen complet évalue les connaissances, les compétences cliniques et les comportements professionnels requis des médecins au Canada. Pour vous aider à vous préparer à l'EACMC1, nous avons résumé les principaux objectifs et fourni trois exemples de questions avec des options à choix multiples.

Bonne chance !

Objectifs clés de l'EACMC1

L'EACMC1 couvre un large éventail de sujets et de scénarios cliniques. L'amélioration de la compétence des tests est cruciale pour les futurs médecins, car elle complète leur expertise médicale. Pour exceller dans cet examen, nous vous recommandons de vous engager dans pratique approfondie avec une gamme variée de scénarios de cas. Plus vous pratiquez le format du test, plus vous avez de chances de réussir !

Il est important de se familiariser avec les différents objectifs car les questions sont directement basées sur ces sujets.

Pour consulter la liste complète des objectifs, visitez le site officiel Site de l'EACMC1 ici.

Questions pratiques de l'EACMC1

Question 1 : Une femme de 28 ans ayant des antécédents de maladie de Crohn se présente avec des antécédents de douleur, de fièvre et de vomissements dans le quadrant inférieur droit depuis 5 jours. L'examen physique révèle une sensibilité, une défense et une sensibilité au rebond dans le quadrant inférieur droit. Les résultats de laboratoire incluent une leucocytose de 18,000 XNUMX cellules/µL. Quel est le test de diagnostic le plus approprié à effectuer ensuite ?

A. Échographie abdominale

B. Scanner abdominal avec produit de contraste

C. Lavement baryté

D. Coloscopie

E. Entérographie par résonance magnétique (EMR)

Question 2 : Un homme de 62 ans ayant des antécédents de tabagisme se présente avec une dyspnée progressive, une toux chronique et une production d'expectorations jaunâtres. Les tests de la fonction pulmonaire révèlent un rapport VEMS/CVF de 1 et une réponse bronchodilatatrice significative. Lequel des énoncés suivants est le diagnostic le plus probable et la prise en charge pharmacologique initiale ?

A. Maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC), bronchodilatateur inhalé à courte durée d'action

B. Asthme, corticostéroïde inhalé et bronchodilatateur à longue durée d'action

C. Bronchiectasie, corticostéroïde inhalé

D. Fibrose pulmonaire, pirfénidone

E. Embolie pulmonaire, traitement anticoagulant

Question 3 : Une femme de 54 ans ayant des antécédents d'hypertension se présente avec l'apparition soudaine de maux de tête sévères, de nausées, de vomissements et d'une raideur de la nuque. Sa tension artérielle est de 185/110 mmHg. Une tomodensitométrie sans contraste de la tête est négative pour toute hémorragie intracrânienne aiguë ou effet de masse. Laquelle des étapes suivantes est la prochaine étape la plus appropriée dans la prise en charge de ce patient ?

A. Ponction lombaire

B. IRM du cerveau

C. Angiographie CT de la tête et du cou

D. Administration de médicaments antihypertenseurs

E. Consultation neurochirurgicale immédiate

Corrigé et explications :

Question 1:

Réponse B. Scanner abdominal avec produit de contraste

Explication : La présentation et les résultats de l'examen physique chez ce patient suggèrent une appendicite aiguë, une urgence chirurgicale courante qui nécessite une prise en charge rapide. Les résultats de laboratoire de leucocytose appuient davantage ce diagnostic.

La tomodensitométrie abdominale avec contraste est la modalité d'imagerie la plus sensible et la plus spécifique pour le diagnostic de l'appendicite aiguë. Cela peut aider à confirmer le diagnostic, à déterminer l'emplacement et la taille de l'appendice enflammé et à identifier les complications potentielles telles que la perforation ou la formation d'un abcès. L'échographie abdominale peut également être utilisée dans certains cas, mais elle peut ne pas être aussi précise pour identifier l'inflammation appendiculaire chez les adultes que chez les enfants.

Le lavement baryté et la coloscopie ne sont pas des tests diagnostiques appropriés pour l'appendicite aiguë car ils impliquent la visualisation du côlon et du rectum, qui ne sont généralement pas impliqués dans cette affection. L'entérographie par résonance magnétique (EMR) peut être utile pour évaluer l'étendue et la gravité de la maladie de Crohn dans l'intestin grêle, mais ce n'est pas un test diagnostique de première ligne pour l'appendicite aiguë.

Question 2:

Réponse A. Maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC), bronchodilatateur inhalé à courte durée d'action

Explication : Le diagnostic le plus probable chez ce patient est A) Maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC), et la prise en charge pharmacologique initiale doit être un bronchodilatateur inhalé à courte durée d'action.

Les antécédents de tabagisme, de dyspnée progressive, de toux chronique et de production d'expectorations du patient suggèrent tous une MPOC, qui est une affection respiratoire courante et progressive causée principalement par le tabagisme. Les tests de la fonction pulmonaire révèlent un rapport VEMS/CVF de 1, ce qui est compatible avec la limitation du débit d'air, et la réponse bronchodilatatrice significative indique que le patient est susceptible de bénéficier d'un traitement bronchodilatateur.

La prise en charge pharmacologique initiale de la MPOC implique l'utilisation de bronchodilatateurs inhalés, tels que les bêta-agonistes à courte durée d'action (SABA) ou les anticholinergiques, pour soulager le bronchospasme et améliorer le flux d'air. Les corticostéroïdes inhalés peuvent également être ajoutés au schéma thérapeutique pour les patients présentant une maladie plus grave ou des exacerbations fréquentes.

La bronchectasie peut également présenter une toux chronique et une production d'expectorations, mais elle est généralement associée à une toux productive qui produit de grandes quantités d'expectorations purulentes. Les corticostéroïdes inhalés peuvent être utilisés dans la prise en charge de la bronchectasie, mais ils ne constituent pas le traitement pharmacologique initial.

La fibrose pulmonaire est caractérisée par la cicatrisation progressive du tissu pulmonaire, ce qui entraîne une perte irréversible de la fonction pulmonaire. La pirfénidone est un médicament antifibrotique approuvé pour le traitement de la fibrose pulmonaire idiopathique, mais il n'est pas indiqué pour le traitement de la MPOC.

L'embolie pulmonaire est une urgence médicale qui se manifeste par une dyspnée aiguë, des douleurs thoraciques et une hémoptysie. L'anticoagulation est le traitement principal de l'embolie pulmonaire, mais elle n'est pas indiquée dans la prise en charge de la MPOC.

Question 3:

Réponse A. Ponction lombaire

Explication : D'après la présentation et les antécédents du patient, le diagnostic le plus probable est une hémorragie sous-arachnoïdienne, qui est une urgence médicale qui nécessite une prise en charge rapide. La prochaine étape la plus appropriée dans la prise en charge de ce patient est A) La ponction lombaire.

Une ponction lombaire peut aider à confirmer le diagnostic d'hémorragie sous-arachnoïdienne en détectant la présence de sang dans le liquide céphalo-rachidien (LCR). Si la ponction lombaire confirme le diagnostic, le patient doit subir d'autres examens d'imagerie, tels qu'une angiographie CT ou une IRM du cerveau, pour déterminer l'emplacement et l'étendue de l'hémorragie.

Dans l'intervalle, il est important de contrôler la tension artérielle du patient pour prévenir les nouveaux saignements et soulager les symptômes. Les médicaments antihypertenseurs doivent être administrés avec prudence, car ils peuvent diminuer la perfusion cérébrale et aggraver les résultats chez les patients présentant une hémorragie sous-arachnoïdienne. Par conséquent, les médicaments antihypertenseurs ne doivent être administrés que si le patient présente une hypertension sévère (par exemple, une pression artérielle systolique > 220 mmHg ou une pression artérielle diastolique > 120 mmHg) ou des signes de lésions des organes cibles.

Une consultation neurochirurgicale immédiate peut être nécessaire s'il existe des preuves d'un effet de masse significatif, d'une hydrocéphalie ou d'une détérioration clinique malgré la prise en charge médicale.

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